Description
Et si l’on prenait le chemin de l’école en faisant un grand détour par le monde ? Des photographes ont parcouru le globe avec le même désir, nous raconter l’école en nous montrant ce voyage en images. Les petits écoliers du monde sont souvent fiers d’arborer leurs uniformes, car si chez nous l’école est parfois une contrainte, ailleurs elle est vécue comme une chance et l’envie d’apprendre passe par-dessus tout?En Ethiopie, dans les écoles sans argent, les enfants apprennent à compter avec des capsules de sodas. Chez les indiens de la Cordillère des Andes, il faut une heure de marche pour atteindre la petite école de Caraz perchée à 4000 mètres d’altitude ! Au Nicaragua, à l’école de Poneloya, la classe n’a plus de toit, un ouragan l’a emporté? Fils et filles de pêcheurs doivent souvent aider leurs parents, mais ils préfèrent aller à l’école ; ici tout le monde participe, les écoliers attentifs sont gourmands de cette liberté d’apprendre ; les instituteurs enseignent sans être payés ; chacun fait son possible pour que l’école vive, malgré les ouragans et la pauvreté. Dans certains pays, l’école est parfois trop petite pour accueillir tous les enfants, alors un groupe d’élèves vient le matin et l’autre l’après midi. Pendant qu’au Pakistan on passe un examen de mathématiques à même le sol sous le regard sévère d’un professeur, sur les hauts plateau de Bolivie des enfants font une ronde joyeuse dans la plus grande cour de récréation du monde. En Europe découvrons aussi ces écoles singulières comme « l’école du voyage » ou encore « l’école à la maison » Sous la chaleur extrême de l’Afrique, dans le froid glacial du grand Nord canadien, dans les pays les plus pauvres ou les plus riches, sur tous les continents, regardons à la loupe tout ce petit monde?Nous découvrirons d’autres façons de prendre le chemin de l’école, d’autres raisons d’apprendre, d’autres rêves et d’autres espoirs.